Lors de la récente expédition, 53 enfants du sud de l’Ukraine ont participé au projet et ont pris somme toute plus de 1000 photos sur pellicule. Sur ces photos, on retrouve à la fois la vie quotidienne et les traces de l’invasion militaire.
« C’était douloureux de s’en rendre compte, douloureux de le voir, douloureux de le filmer. Et puis on se souvient d’où ils sont venus, et on ne veut pas le leur rappeler. Même avec son visage confus et triste », se souvient Yurasov.
« Je suis plus intéressée par la construction d’un pays ici que par le fait de partir et de profiter de ce que quelqu’un d’autre a construit. Je crois en ce pays et au potentiel des personnes avec lesquelles je vis », dit la volontaire.
« Le 24 février, j’ai pris un bain, bu mon thé et appelé mon psychothérapeute pour lui dire au revoir. Ce n’est qu’après cela que je suis allé au commissariat militaire, » se souvient Dmytro.
« J’ai réalisé à quel point nous vivons bien en Angleterre et quelle chance j’ai eu de vivre dans un pays sans guerre. (…) Cette guerre est une guerre entre le bien et le mal. Les étrangers doivent continuer à aider l’Ukraine jusqu’à ce qu’elle reprenne son droit de vivre librement sur sa terre. »
« Voyons combien de degrés il fait ici », dit Nina et touche le thermomètre avec sa main. Nina peut à peine voir, mais elle se rappelle très bien où se trouvent les objets. Il fait 12 degrés Celsius.
Ce site web utilise des cookies. Le cookie est stocké sur votre appareil afin de vous offrir une meilleure expérience du site web. Pour en savoir plus, consultez le site.Ok