La Russie a largué des bombes à fragmentation sur des quartiers résidentiels
L'épave d'une bombe à fragmentation après un bombardement dans la rue à Kharkiv, le 3 mars. Photo : Andriy Marienko
L’ONU a enregistré des éléments prouvant l’emploi de bombes à fragmentation lors de l’invasion de grande envergure russe. En particulier, de telles bombes ont été délibérément larguées sur l’hôpital central de la ville de Vuhledar, dans la région de Donetsk, faisant quatre civils tués et dix autres blessés. L’ONU a enregistré un autre cas d’utilisation de bombes à fragmentation dans plusieurs quartiers de Kharkiv. En conséquence, neuf civils ont été tués et 37 ont été blessés.
Les bombes à fragmentation sont une arme spéciale qui disperse de petites munitions explosives sur la zone touchée qui, à leur tour, se dispersent et affectent une zone beaucoup plus vaste. Ces bombes sont mortelles pour les civils, même si elles sont larguées sur des installations militaires.
L’utilisation de telles bombes dans des zones civiles revient à un acte de terreur directe contre les civils. Les engins visent à les détruire.
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